Oracle au désespoir
Le nuage semblait une flamme immobile
Comme un phénix qui traverserait le ciel
A la vitesse de l’éternité
Mais le temps arrêté n’était
Que celui de ma peine
Je venais de relire l’histoire humaine
Infâme insulte faite à la vie
Véritable incendie qui ravage
L’âme universelle...
Et je prie pour qu’elle renaisse
De ces tristes cendres
De génération en génération
Dans les mains de mes enfants
Toi qui m’écoutes et que j’aime
Rêve, pleure, prie
Avec moi
Pour le c½ur de tes enfants
L’avenir existe
Dans les yeux de nos enfants