Mi-saison
Eau sonore et pierres blanches
L’heure d’un siècle rouge
Snobée par un autre siècle translucide
Ponctuations vertes, parenthèses et liaisons
Et l’absence des passants, partis
Et le Soleil qui dit non, qui dit oui
Encore un de plus, un dimanche
Dans la ville rien mais tout bouge
Sous le ciel sec ou humide
Dans le hiatus des saisons
A l’absence d’un cœur, compatis !
Et le bruit qui n’est pas le même, oh non !
Fin de semaine, siècle débutant
Triste rengaine, perte d’amant.